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Manon a entamé une reconversion en photo culinaire, pour réunir ses passions et aspirations. Elle a décidé d'utiliser le Campus comme accélérateur.
"Le Campus, c’est le propulseur qui a fait que je suis passée de grand rêve dans ma tête à des choses concrètes."
Elle a longtemps été confrontée au syndrome de l'imposteur et à "la peur de se vendre". L'idée de pouvoir vivre correctement de la photo lui semblait irréalisable. Désormais, de graphiste / photographe de concerts pour un label de musique à Montréal, elle s'essaie à la photographie culinaire et prend le temps de construire son activité de freelance pas à pas, en choisissant soigneusement ses clients et ses contrats.
Manon Soules| @manon.soules.photography
Directrice artistique et photographe culinaire et membre du Campus des Créateurs Nomades
Après des années en agence, avec le besoin de plus de liberté, Claire a rejoint le Campus pour lancer son activité de freelance indépendante. Quelques mois plus tard, elle a pris son sac à dos pour aller tenter l'aventure en coliving et créer son studio de graphisme nomade. Elle partage avec toi son expérience sur le démarrage de son entreprise, ses astuces de créatrice nomades et comment le Campus l'a aidé pendant cette transition.
Claire Mouly | Akenstudio
Directrice artistique et membre du Campus des Créateurs Nomades
Camille a suivi son mari à Tahiti pour des raisons professionnelles. Ce changement a entraîné beaucoup de questionnements et de doutes. La peur au ventre elle a rejoint le Campus et s'est reconvertie en photographie sous-marine. Les premiers contrats sont finalement arrivés très vite.
Camille Hernandez | @Girlintahiti
Photographe underwater et membre du Campus des Créateurs Nomades
" [Depuis le début de la formation], il y a beaucoup de choses qui ont bougé, du coup. Ça m'a permis de mettre en place mon site internet et ma communication et de me faire connaître un peu aussi, du coup ! Depuis que je suis revenue en France, Ça m'a permis de rencontrer les gens, pour les rendez-vous mariages. Donc ça, c'était super important. Et ça a fonctionné. C'est des contrats qui ont été signés par la suite donc, c'est cool. "
Anne-Claire Josso | @ac_instant_
Photographe et membre du Campus des Créateurs Nomades
Sandrine fonce pour donner vie à ses rêves. Après des années dans le tourisme, Sandrine a décidé de faire les premiers pas vers sa vie de photographe depuis les rocheuses canadiennes. Elle sème des graines pour faire grandir son projet et vient d'être finalement publiée dans le Canadian Geographic. Elle s'appuie sur le Campus pour l'aider à chaque étape de son projet.
Sandrine Chiarena | @french_vagabonde
Photographe et membre du Campus des Créateurs Nomades
" La rencontre de Clem et Mumu, ça a été hyper important parce qu'elles sont toujours de bons conseils. Elles suivent les cours, si tu as un problème sur un exercice, elles peuvent te donner leur avis. Si tu rencontres un client, pareil, et c'est des encouragements... C'est vraiment un environnement ultra-dynamique et hyper encourageant.
Et puis, il n'y a pas de jugement, c'est toujours dans la bienveillance...
On avance chacun à nos rythmes parce qu'on a tous des impératifs, on est tous dans des dynamiques différentes, dans des cadres différents... Il y en a qui sont déjà lancés, d'autres qui vont se lancer mais c'est toujours pour aider les autres...
Je trouve que cet environnement là est hyper stimulant pour n'importe qui à envie d'avancer dans ses projets. "
Floriane | @prendstonbaluchon
Rédactrice web, créatrice du podcast Prends ton Baluchon et membre du Campus des Créateurs Nomades
Rémy est artisan. Dans un monde, où le freelancing n'est pas du tout la norme, il a réussit à trouvé des clients malgré la réticence du milieu. Et le mot se passe !
Il se démarque et trouve de nouveaux projets grâce à la présence qu'il a développé sur YouTube
Rémy | Chaîne YouTube
Artisan et membre du Campus des Créateurs Nomades
Je te dirais que si tu hésites [à rejoindre le Campus] tu as déjà la réponse à ta question ! :)
Ça veut dire que si tu as atterri sur les filles qui ont réalisé cette formation, ça veut dire que tu recherches l’excellence, que tu cherches à sortir du lot et clairement elles peuvent t’apporter tout ça.
Elles peuvent aider à canaliser tes projets, à surmonter tes peurs et le plus important à sortir du lot à faire de toi quelqu’un d’unique, qui a des prestations uniques et qui s’adresse aux bons types de clients. Donc vraiment, je te dirais qu’il ne faut pas hésiter à savoir investir en soi parce que ça reste un investissement ça veut dire que tu auras un retour sur ton investissement et il sera positif.
Marjolaine Tassin | @yesmarge
Graphiste d'hôtes et membre du Campus des Créateurs Nomades
Depuis qu'elle s'est lancée, Violette a rapidement obtenu ses premiers contrats et vient de décrocher une résidence en gravure au Portugal.
Violette | @_vyvio
Graphiste et membre du Campus des Créateurs Nomades
" Sans le campus, je n'aurais pas osé m'orienter dans cette nouvelle voie professionnelle, l'embrasser complètement et me dire : "Ok, je peux le faire, ce n'est pas que les autres, c'est un de mes rêves, je peux y aller et puis du coup tout mettre en place". Tout faire pour que normalement dans 3 semaines, je pars au Burkina pour mon premier photo-reportage. "
Flora Elie, photographe
Note : C'est fait depuis ! Maintenant Flora est en Egypte ! Et se prépare à repartir en Inde !
Flora Elie | @flora.elie
Photographe documentaire et de voyage, membre du Campus des Créateurs Nomades
Passionnée de voyages, Cécile construit son activité d'indépendante petit à petit et vient de lancer son projet personnel qui lui crée naturellement un réseau auprès de marques éco-responsables.
Cécile Rouin | @studiocecile.pro
Photographe, Créatrice d'histoires visuelles et membre du Campus des Créateurs Nomades
Bastien développe efficacement son réseau et crée des collaborations avec différents artistes et magazines.
Bastien Bouta | @aploticastudio
Artiste et membre du Campus des Créateurs Nomades
Beatriz a suivi des études techniques et est ingénieur. Mais sa créativité la démange, alors elle a décidé de se reconvertir dans un métier créatif.
Pendant qu'elle se cherche et se forme en illustration et graphisme, elle a entrepris de suivre la formation du Campus pour lui ouvrir de nouveaux horizons et être prête au moment de se lancer.
Béatriz | @beatrizia_illustration
En reconversion, Illustratrice et membre du Campus des Créateurs Nomades
Éric a réussi à dépasser le syndrome de l'imposteur pour lancer son activité, trouver ses premiers clients, et vivre sur les routes.
Éric | www.gen-eric.ch
Généalogiste et membre du Campus des Créateurs Nomades
"Je n'avais pas l'impression d'évoluer, j'avais l'impression de stagner et grâce aux conseils de Clem et Mumu et aux conseils du Campus, j'ai pu continuer à avancer et à toujours continuer sur mon projet. Sinon, je ne continuerais pas à le faire ! J'aurais tout arrêté !"
Note : Depuis, beaucoup de choses ont changé pour Antoine : il a signé une série de vidéos, ils suit des athlètes et à même une une offre rêvée !
Antoine Valée, Wasascope
Vidéaste et membre du Campus des Créateurs Nomades
À la sortie de ses études, Lisa a comprend qu'elle aura besoin de se former en compétences entrepreneuriales car ce sont des choses que l'on n'apprend pas en école d'arts. Elle a trouvé le programme du campus complet avec un état d'esprit qui lui correspond bien.
Depuis, elle a ses premiers clients et vient de s'installer dans son propre atelier !
Lisa, @na.adle
Graphiste, Illustratrice et membre du Campus des Créateurs Nomades
" Je n’osais pas forcément jusqu’à dernièrement regarder quel concurrent il y avait autour de moi. Dans la mesure où, je crois, que j’avais peur que ça ruine toutes mes espérances. Et du coup, via la formation ça m’a obligé à regarder ce qu’il y avait et en fait à m’apercevoir que le modèle que j’ai envisagé n’était pas si fou que ça, dans la mesure où il existait déjà sous d’autres formes assez proche. Ce que ce que je pensais comme quelque chose qui allait me décourager m’a plutôt encouragé.
Donc ça, c’est positif. Une autre chose que j’ai réalisée : j’ai commencé à démarcher des structures.
Et ce que ça m’apporte aussi — et je pense que ça va continuer à m’apporter — c’est un ensemble de méthode d’astuces, d’idées à expérimenter, d’outils que ce soit en communication, en organisation, ou dans le domaine purement création.
C’est voilà, c’est un vivier de choses dans lequel je peux aller puiser."
Élodie, consultante en développement local
Note : Depuis Élodie (qui pensait que son type d’activité ne pouvait pas se réaliser en freelance) a gagné un appel d’offres et un contrat d’un an !
Myrtille Boyer,
Graphiste et photographe, @photographeculinaire
Membre du Campus des Créateurs Nomades
La formation du Campus des Créateurs nomades donne un bon guide pour se lancer quand on ne sait pas par où commencer. Avant, j'étais perdue et je m'éparpillais.
Le Campus m'a donné un cadre, je prends davantage le temps de me poser les bonnes questions pour avancer.
J'ai aussi appris à prioriser, à me demander quel est mon objectif numéro 1 et ne pas perdre de temps sur des choses ayant moins d'importance.
L'élan de groupe est un plus je trouve, chacun amène sa vision et c'est très constructif.
Grâce à la formation, j'ai clarifié mon offre, trouvé des clients et surtout trouvé quelque chose que je veux vraiment faire et qui me motive (sans tout faire à la fois)."
Avis sur l'accompagnement proposé par Clem & Mumu
"C'était trop bien parce que j'ai vraiment trouvé, on a trouvé ensemble, on a développé plein de piste et plein de voies et de possibilités.
Du coup, j'ai réussi à trouver un moyen de lier la musique et l'illustration. J'ai compris qu'en fait, il fallait avoir un projet un peu qui sorte de l'ordinaire.
J'avais besoin d'un regard extérieur ,aussi parce que finalement à chercher les choses soi-même, on est vite bloqué au bout d'un moment.
Clem, tu m'as apporté plein de bonnes idées dans la partie création : des références avec des artistes des gens qui font des concepts un peu innovants et on n'y pense pas toujours.
[...]
J'appréhendais beaucoup, en fait au début parce que j'avais l'impression que c'était vraiment beaucoup de travail. C'est quand même assez titanesque.
[...]
Mais au final, quand vraiment les choses sont prises une par une et dans l'ordre, on arrive à mieux y voir et puis vous m'avez vraiment apporter ce plan d'action qui permet de mettre toutes les étapes les unes après les autres."
Anaïs, Pattern designer analyr.com | Instagram
Note : Depuis, Anaïs a rejoint le Campus des Créateurs Nomades.
L'accompagnement m'a apporté un cadre dont j'avais vraiment besoin pour éviter de partir dans tous les sens.
Ça m'a apporté des résultats.
Parce que mine de rien, ça ne fait que trois mois et les résultats que j'ai grâce au coaching : si je l'avais fait tout seul, je pense que je l'aurais dû compter en nombre d'années, pas en nombre de mois.
Le coaching me donne le cadre et des résultats parce que ça fait que trois mois et trois mois, c'est très court. Et les résultats que j'ai eu...
Avant de commencer le coaching, jamais, jamais j'aurais pu penser arriver là aussi vite.
Parce que là le projet, je trouve qu'il est plutôt bien structuré au niveau des bases. Là ça va se jouer au niveau des détails et après c'est sur des choses beaucoup plus techniques. Mais le gros du travail, trouver un projet qui me plaît, qui me correspond et dans lequel je me sens bien, on l'a trouvé assez rapidement : au bout de la première séance, ou de la deuxième gros maximum. C'est que du bon !
Thomas Pruvost, @tompruvostphotographe, Photographe
Tu nous as apporté différents outils, des ressources avec des logiciels, internet, le site… et aussi au niveau de la planification et de l'organisation des idées.
Quelles questions se poser, par où commencer pour justement faire ressortir ce projet, pour justement le matérialiser.
C'est bien d'avoir des idées créatives mais après de les mettre en place et de les matérialiser dans ce monde, c'est autre chose.
Nous on n'est pas très coaching - pas du tout même ! Mais c'est bien passé avec toi et que vous êtes un peu sur les mêmes longueurs d'ondes sur vos projets et tout… donc ça colle !
Cela fait un mois et demi qu'on ne s'est pas parlé mais à chaque fois, c'est un grand pas pour nous.
Sundari et Max, entrepreneurs
Pourquoi ont-ils rejoint le Campus des Créateurs Nomades ?
Le contenu pédagogique, c’est intéressant : ça m’a permis de mettre des mots sur les interactions avec les clients que j’ai.
Comme quand tu donnes l’exemple de la Ferrari : quand tu as donné ça, je me suis revu plein de fois proposer une Ferrari… Il y a plein de fois où j’ai fait cette bourde et du coup là je me dis : ok, d’accord, je comprends pourquoi !
Et les fois où ça a marché [avec les clients], j’ai compris que c’était parce que j’avais écouté, proposé des solutions à sa demande, à ses besoins.
Je le vois : Juste sur les quelques jours, j’ai eu des clients, j’ai mis en pratique et il y a peut-être de la chance mais j’ai eu des bons résultats.
Ça évite de faire bien des erreurs que je me revois avoir fait !
Rémy, Artisan itinérant
Depuis Rémy a lancé sa Chaîne Youtube et compte des milliers de vues sur sa chaîne en quelques vidéos.
C’est du sérieux, c’est du professionnalisme.
Et j’ai eu tout de suite eu envie de me dire : « vous pouvez m’accompagner ».
Clairement parce que vous êtes passés par là et parce qu’on a des profils similaires et qu’on se comprend, en fait.[…]
Travailler pour gagner de l’argent et juste pour consommer, et pour en fait donner son temps et son énergie à quelqu’un d’autre, je pense que ça commence à atteindre – pour certaines personnes – ses limites. Et l’essentiel, c’est de donner du sens à son action. Pourquoi je me lève le matin et qu’est-ce que ma journée va apporter à quelqu’un d’autre ? En tout cas pour moi, le sens, il se met obligatoirement avec les autres. Avec l’entraide et l’accompagnement. Et il peut prendre énormément de sens, de « modalités ».
Ça doit être au cœur de nos actions. Pourquoi on fait ça ?
Sabine, Multipotentielle enthousiaste !
On sent qu’il y a vraiment un conseil qui est ancré dans l’expérience vécue. On sent qu’il y a une volonté de partager et de partager des choses utiles, concrètes ; qui vont vraiment aider des personnes qui au départ, sont un peu perdues dans cette aventure. C’est-à-dire des gens qui ont leurs talents de créateurs mais qui n’ont pas nécessairement l’expérience, l’expertise de se lancer en freelance, mais qui veulent le faire.
Et je pense que pour des personnes, comme moi par exemple, qui ont cette aspiration mais qui ont encore des barrières psychologiques, ne se sentent pas assurées… ce campus me semble vraiment adapté à concrétiser cette aspiration.
Alexi, Développeur
On sent qu’il y a vraiment un conseil qui est ancré dans l’expérience vécue. On sent qu’il y a une volonté de partager et de partager des choses utiles, concrètes ; qui vont vraiment aider des personnes qui au départ, sont un peu perdues dans cette aventure. C’est-à-dire des gens qui ont leurs talents de créateurs mais qui n’ont pas nécessairement l’expérience, l’expertise de se lancer en freelance, mais qui veulent le faire.
Et je pense que pour des personnes, comme moi par exemple, qui ont cette aspiration mais qui ont encore des barrières psychologiques, ne se sentent pas assurées… ce campus me semble vraiment adapté à concrétiser cette aspiration.
Alexi, Développeur
Fermeture des inscriptions lundi à 23h59 (heure de Paris)
Qui sommes-nous ?
Nous sommes Clem & Mumu, deux créatrices nomades.
On a décidé de quitter nos jobs stables et de reprendre notre liberté.
Clem est directrice de création freelance et Mumu est consultante marketing indépendante.
En parallèle, nous convertissons un autobus jaune (Elva) en studio de création, espace de formation et ciné-bus. (Et ça, sans aucune connaissance en mécanique !).
Tu verras que pas à pas, tout s'apprend, même l'entrepreneuriat !
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Le podcast des créateurs nomades
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Fermeture des inscriptions vendredi à 23h59 (heure de Paris)
Elle s'est lancée !
Passionnée depuis des années, je n’ai osé me professionnaliser qu’il y a un an.
Ce nouveau statut de photographe professionnel, je le dois à Clem, dont le discours a été l’élément déclencheur de mon lancement.
Des années à me créer de fausses excuses pour reculer le jour où je mettrai en place mon projet, j’ai compris qu’il n’y avait jamais de bon moment.
Se seriner « ne pas être assez prête », « ne pas être assez pro » n’est pas un gain de temps pour s’améliorer, mais du temps gagné à stagner. Car le jour où la machine est lancée, tout s’accélère, y compris nos compétences.
Alice Gondelle, 32 ans, photographe.
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